📊 Les études scientifiques qui ont révélé le danger
En 1982, le professeur Daniel Cramer (Harvard Medical School) a mené une étude sur 215 femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire.
Les résultats ont été frappants :
- 43 % d’entre elles utilisaient régulièrement du talc sur leurs parties intimes.
- Le risque de développer un cancer ovarien augmentait de 33 % chez ces utilisatrices.
- On estime à environ 10 000 cas de cancers de l’ovaire liés à l’usage prolongé du talc chaque année.
Cependant, une étude de 1999 a relativisé ces conclusions, suggérant que le lien entre le talc et le cancer de l’ovaire était faible et statistiquement peu significatif. Malgré cela, de nombreux experts recommandent la prudence, notamment dans les produits utilisés quotidiennement sur la peau.






