Symptômes d’alerte : quand s’inquiéter ?

Dans ses premiers stades, cette pathologie évolue souvent silencieusement. Mais à mesure qu’elle progresse, certains indices peuvent se manifester :
- Des saignements imprévus : entre les règles, après un rapport ou post-ménopause.
- Des pertes vaginales anormales : plus abondantes, malodorantes ou de teinte inhabituelle.
- Des douleurs persistantes dans le bas-ventre ou le bas du dos, sans lien avec les menstruations.
- Une gêne ou des saignements durant les relations intimes.
- Des problèmes urinaires : sensation de vessie non vidée complètement ou traces sanguines dans les urines.
Face à ces signaux, une consultation gynécologique rapide s’impose.
Mieux vaut prévenir que guérir
La vigilance et les mesures préventives font toute la différence. Voici les réflexes à adopter :
- Vaccin anti-VPH : conseillé dès l’adolescence, pour les deux sexes.
- Examen cytologique : à effectuer tous les 3 ans à partir de 25 ans.
- Dépistage HPV : recommandé entre 30 et 65 ans, à renouveler quinquennalement.
- Protection lors des rapports : diminue les risques de contamination.
- Mode de vie sain : nutrition équilibrée, exercice physique et sevrage tabagique boostent nos défenses naturelles.






