Contrairement aux clichés, porter majoritairement du noir n’indique ni malaise ni fragilité. Les raisons sont multiples : esthétiques, culturelles, pratiques, professionnelles.
D’ailleurs, nombre de personnes créatives affectionnent le noir pour son côté graphique et intemporel.
Là où cela devient intéressant, c’est si le noir devient le seul choix possible. Non pas pour tirer des conclusions psychologiques, mais pour se demander : « Est-ce que cela me fait du bien ? Est-ce que cela me ressemble toujours ? » Une manière simple de mieux comprendre ce qui guide nos préférences.
Le noir, une invitation à mieux se connaître
S’interroger sur pourquoi l’on aime tant le noir peut devenir un petit exercice de connaissance de soi. Peut-être qu’il apaise, peut-être qu’il donne du courage, peut-être qu’il structure.
L’essentiel, c’est que ce soit un choix libre et aligné, pas une habitude qui enferme — une voie vers un bien-être mode assumé.
Parce qu’au fond, le style qui nous va le mieux est toujours celui qui nous fait respirer.






