Si le phénomène devient fréquent, parlez-en à votre médecin : certaines causes hormonales ou métaboliques peuvent accentuer ces réveils.
Le petit verre du soir perturbe votre sommeil
Contrairement à une idée reçue, l’alcool ne favorise pas le sommeil. Il détend au départ, mais dérègle ensuite le cycle du repos et provoque des réveils en fin de nuit. Le corps, occupé à éliminer l’alcool, empêche les phases de sommeil profond.
Préférez une infusion relaxante — camomille, verveine ou tilleul — et veillez à bien vous hydrater pendant la journée.
Vous respirez mal pendant la nuit
Si vous vous réveillez en ayant l’impression de manquer d’air, il peut s’agir d’un trouble respiratoire comme l’apnée du sommeil. Sans panique : un simple test peut suffire à en identifier la cause.
Un sommeil paisible passe aussi par une respiration fluide et régulière toute la nuit.
Votre métabolisme tourne à plein régime
Transpiration, palpitations, réveils brutaux… Une hyperactivité de la thyroïde peut parfois en être responsable. Un bilan sanguin permet de le vérifier.
En attendant, adoptez une routine apaisante avant le coucher : tisane tiède, lecture douce, lumière tamisée et, surtout, pas d’écran au lit.






