Vous avez appris très tôt à douter de votre entourage

Les mères blessantes critiquent souvent les amis, le partenaire ou d’autres membres de la famille. Enfant, vous avez pu vous retrouver à douter de ceux qui vous soutenaient et à vous sentir isolé·e. Aujourd’hui encore, vous pouvez craindre de déranger, hésiter à demander de l’aide ou vous sentir « en trop », même entouré·e de personnes bienveillantes.
La culpabilité est devenue votre langue maternelle

« Avec tout ce que j’ai fait pour toi », « si tu m’aimais vraiment, tu… » : la culpabilisation remplace parfois toute forme d’échange. Quand on grandit avec cela, on finit par croire qu’on est responsable des émotions des autres. Dire non devient difficile, et s’affirmer semble presque une trahison. À l’âge adulte, cela se traduit souvent par un « oui » automatique, même quand tout en vous dit non.
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